Challenges

Bilan Cold Winter Challenge 2020

De cette première édition dirigée par l’enluminée je retiens malheureusement peu de chose. Pour ceux qui suivent le blog depuis un moment vous le savez, mes lectures sont soit très prolifiques, soit quasi absentes. Et l’hiver à été maigre. J’ai réussi à me rattraper grâce à quelques BD/manga pour étoffer un peu l’ensemble.

  • Persuasion – J. Austen

Toujours un plaisir de me replonger dans un Austen de temps en temps. Si raison et sentiments reste mon préféré, celui-ci vient prendre la seconde place. J’aime les histoires de seconde chance, surtout quand on pense que tout est perdu, que l’on n’a aucun droit de regretter le passé mais que pourtant la jalousie vous étreint, que votre ventre se crispe lorsque vous croiser le chemin de votre amour d’enfance.

  • Prince captif, tome 2 : le guerrier – CS Pacat

Comme pour le tome 1, l’écriture a des défauts, mais la rapidité des actions pardonne l’aspect simpliste. J’aime beaucoup suivre cette petite histoire d’amour impossible et je me souviens de ma hâte de lire le dernier tome à la fin de celui-ci. 

  • Le prince de l’hiver – Cassebois et Clément

Une belle histoire mise en images, comme un conte d’un autre temps. L’ensemble ne m’a pas transporté mais était parfait pour la saison.

  • Le maître des livres, tome 4 – U. Shinohara

Je retourne de plus en plus avec des pincettes sur cette série, de peur que ce soit trop répétitif. Et en même temps, j’aime beaucoup retrouver les personnages et me faire conter des histoires. Par contre, j’ai hésité à lire certains chapitres de peur de me faire spoiler des livres que je souhaitais lire, ça me gène un peu pour la poursuite de cette saga.

  • Sapiens, une brève histoire de l’humanité – YN Harari

Un livre audio qui m’a accompagné dans mes balades. J’aime beaucoup les livres de vulgarisation, qui rendent des sujets accessibles au plus grand nombre, et le fait que par moments ils aillent un peu plus loin dans la réflexion.

  • Les filles au chocolat, tome 1 : Coeur cerise (BD) – Grisseaux, Cassidy, Sebastien, Merli

Je ne suis clairement pas le public visé par cette BD, mais après mon attachement pour la sage des Quatre sœurs, je voulais tenter l’expérience. Après avoir lu la BD, je suis aller lire quelques avis de personnes qui avaient également lu les livres, et cela a confirmé mon impression. L’ensemble est bancal. Les connaisseurs sont frustrés des découpes draconiennes, les nouveaux sont perdus par l’épurage.

  • l’atelier des sorciers, tome 7 – K. Shirahama

Si j’ai beaucoup aimé les révélations de ce tome, tout y va trop vite, c’est presque survolé, vous vouliez des réponses les voilà. Avec une petite histoire hors-série ce tome est très succinct. J’ai toujours cette impression que c’est un bon manga, mais sans coup de cœur. J’ai un peu peur pour la suite. 

  • L’enfant océan (BD) – Mourlevat et L’Hermenier

Un magnifique conte, encore une grande réussite de Mourlevat. J’ai opté pour la version BD cette fois-ci, malgré un dessin cru (pas mon genre de prédilection) et j’ai bien fait car finalement cela s’associe superbement bien avec l’histoire. 

  • Mistinguette, tome 1 – Tessier et Amandine

Une petite pause rigolote qui m’a ramené à mon adolescence. Je n’ai pas l’intention de poursuivre la saga. Je suis ce genre de personne qui adoooooore les premiers tomes.

  • Le royaume tome 0 : le complot de la reine – B. Feroumont

Un tome qui revient sur les origines de l’histoire du royaume et qui vient en même temps clôturer les aventures d’Anne. J’ai beaucoup aimé que l’on y retrouve les réponses aux intrigues restées en suspend, que les personnages déjà connus évoluent, que l’on y retrouve cet humour décalé, et cette fin moderne sur fond médiéval.

  • lait et miel – R. Kaur

Tout ce que je savais de ce recueil de poèmes, c’était son aspect féminin et moderne et son succès. J’y suis allé les yeux fermés et me suis retrouvé déstabilisé dès les premières pages. Finalement, et malgré mon attrait pour les styles très classiques, j’ai fini par apprécier l’ensemble. Pas spécialement pour sa poésie (trop libre pour moi), mais pour l’écho que cela à fait chez moi, au féminin, à l’amour, aux émois, à la découverte de son corps et aux bouleversements positifs et négatifs de tous ces sentiments.

En conclusion, un hiver peu hivernal et qui ne me laisse pas une grosse impression

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